Saison 1, épisode 1
Rien qu’au titre, on sait vers quel thème on se dirige, le thème universellement souvent chiant : la famille ! Toute nouvelle avec sa première saison, Parenthood met donc en scène 153 frères et sœurs qui ont chacun des problèmes d’enfants, de couple ou de travail.
Comme dans Notre belle famille ou Une Famille formidable, une nouvelle ère commence puisque Sarah et ses deux enfants viennent de fuir un mari et père rockeur alcoolo et se réfugient chez les parents pour une nouvelle vie.
On y fait la connaissance du reste de la tribu, mais les personnages sont tellement nombreux qu’il m’est impossible en ce dimanche matin de me souvenir des prénoms. Il y a Adam et sa blonde qui doivent faire face à la possibilité que leur fils soit autiste ; il y a le frère d’Adam, un rebelle de 30 ans qui galère à faire patienter sa copine désirant absolument enfanter mais qui apprend en fin d’épisode par son ex, qu’il est papa depuis 3 ans. Nous avons un autre couple avec une autre blonde - la working girl avocate - qui ne profite pas assez de sa petite fille et dont le mari est… juste un mari avec une chemise. Enfin, les grands-parents où l’ancien est le patriarche solide et la mère est à la cuisine. J’oublie des millions de gosses : la sérieuse, la révoltée qui fume des cigarettes mais qu’on ne voit pas à l’écran et un chien peut-être.
Les scénaristes ont essayé de nous rythmer cet épisode mais comme tout va très vite, on est un peu fouillis. La série ne prend pas son temps comme la géniale Six Feet Under et n’impose pas non plus comme dans la "pourtant ressemblante" Brothers and Sisters, un événement tragique en fin d’épisode pour frapper un grand coup. Reste l’humour, très en dessous de ce que propose par exemple Desperate Housewives dans ses premières saisons. Enfin, le jeu des acteurs, doués pour la plupart laisse supposer que la série a des chances de me happer, si et seulement si le scénario s’agite ou que l’ambiance générale soit mieux définie.
Note de ce premier épisode : 12/20
Fiche technique :
Créée par Jason Katims et diffusée depuis le 2 mars 2010 sur la NBC.
Lauren Graham : Sarah Braverman
Peter Krause : Adam Braverman
Craig T. Nelson : Zeek Braverman
Bonnie Bedelia : Camille Braverman
Monica Potter : Kristina Braverman
Dax Shepard : Crosby Braverman
Mae Whitman : Amber Holt
Miles Heizer : Drew Holt
Joy Bryant : Jasmine Trussell
Erika Christensen : Julia Braverman-Graham
Sarah Ramos : Haddie Braverman
Max Burkholder : Max Braverman
Sam Jaeger : Joel Graham
Savannah Paige Rae : Sydney Graham
Série toujours en cours de production – 1 saison, renouvelée pour une seconde.
4 commentaires:
la série dans son ensemble est agréable a regarder uniquement grâce aux jeux d'acteurs de Lauren Graham et Peter Kraus. Lauren fait son retour dans une série depuis Guilmore Girls. Force est de constater qu'elle a le même jeu, cette fraicheur qui la caractérise qu'elle usait déjà dans GG alors que Peter tient un personnage à l'opposé de celui de Six feet under. J'ai du mal avec les autres personnages, hormis le jeune rebelle, touchant dans ses premiers pas de paternité. L'autisme étant un sujet me touchant particulièrement, j'apprécie le petit pirate. Le grand père et la grand mère sont à mettre à la poubelle, les dates d'expiration de leurs talents étant dépassés depuis longtemps, au contraire d'une Nora Walker et encore plus d'une Emily Gilmore. Bien que se soit une série agréable, elle est loin je trouve de valoir la série Brothers & sisters dont elle n'est qu'une pale copie. Concernant le drame de fin du premier épisode sniv, pour booster le scénario, j'aurais aimé que les vieux claquent ^^
Merci Poussin. ^^
Enfin, avec Mouchette, nous sommes 3 à suivre cette série ! :)
Tu vas voir, au fil des épisodes, on s'attache de plus en plus, ça peut te plaire d'avantage.
J'espère que GG n'a pas trop vieilli et peut toujours se suivre en 2011. J'ai acheté le premier coffret de toute façon et puis, je suis Urgences, ça ne peut pas être pire ! :))
Lol si tu peux regarder la petite maison dans la prairie, tu peux regarder GG. Non tu verras, je pense que ça pourrait te plaire ! Si tu étais une femme tu serais Lorelai Gilmore, du moins j'imagine ton style ainsi :$ Vivement que tu regardes ça, préviens moi hein. Mais tu verras c'est très particulier comme série : pas de meurtre, des conflits familiaux très bien écris, et surtout les rapports entre lorelai et sa mère émily sont hilarants. ça détend même si de temps en temps on coule une tite larme. C'est comique sans être big bang theory, c'est Wisteria lane sans les horribles secrets et les gens qui couchent à droite à gauche. J't'embrasse tendrement et mouchette aussi !
Hey Poussin ! ^^
Tu rigoles mais j'ai une passion pour la Petite Maison que ce blog aurait pu s'intituler Big Bang Ingalls ! lol (J'aurais perdu mon public le plus branché peut-être ?!)
Comme tu m'imagines comme l'un des personnages, femme en plus, tu me motives encore plus à regarder ! Et puis Wisteria Lane a des périodes géniales ! :)
Enregistrer un commentaire